J’ai grandi à Rimouski, au Bas-Saint-Laurent, et j’y ai fait mes études jusqu’au certificat en archivistique en 2015. J’ai ensuite déménagé à Québec pour commencer ma maîtrise en histoire, que je complète actuellement. Depuis le cégep, j’ai occupé divers emplois, autant en histoire qu’en archivistique, et ce pour des musées, des centres d’archives et des ministères provinciaux et fédéraux.

J’ai toujours été attiré par la sauvegarde de la mémoire et sa diffusion. Lorsque j’étais au baccalauréat en histoire à l’UQAR, je cherchais une façon de diversifier mon profil professionnel au-delà de l’enseignement de l’histoire. Dans mes cours, j’ai visité des centres d’archives et discuté avec des professionnels du milieu, qui m’ont parlé de ce domaine. J’ai ensuite suivi un premier cours d’archivistique en option avec Donald O’Farrell où j’ai eu un survol des bases de ce domaine. J’ai donc choisi de faire le certificat pour m’outiller à travailler dans ce domaine !

Je vois l’AAQ comme étant la courroie de transmission entre les archivistes et la société en général. Notre milieu et notre métier sont encore méconnus du public, et l’AAQ a une place privilégiée pour faire connaître notre profession et aussi pour organiser du réseautage pour ses membres, notamment avec les 5 à 7 et le congrès annuel.

En tant qu’administrateur pour le comité région est, je souhaite donner mon soutien aux activités organisées par l’AAQ afin de contribuer à la réalisation de ces mandats.

Bien que je sois un intellectuel, je suis aussi quelqu’un qui aime les sports ! J’affectionne principalement les sports de combat avec des armes. Je pratique régulièrement l’escrime historique ainsi que les combats de reconstitution historique viking ! Je fais partie d’une troupe de reconstitution qui organise et s’implique dans divers événements. Nous pratiquons un art martial de combat basé sur des sources historiques qui mélange équipement moderne et historique ; le tout se pratique avec de vraies armes émoussées en acier !