Pour ne pas perdre la carte… Formation sur les documents cartographiques – 21 novembre 2024 (Montréal)

Formateur : François Cartier

Dates :  14 novembre à Québec, 21 novembre à Montréal et 28 novembre à Drummondville

Prix : 175$ membre, 350$ (non-membre)

Inscription disponible dès septembre

Description :

Connaissez-vous bien les documents cartographiques qui se trouvent dans votre institution d’archives? Sauriez-vous dire si 1 : 20 000 est une petite ou grande échelle? La projection de votre carte, de quelle nature est-elle? Seriez-vous en mesure de distinguer une carte picturale d’un bloc-diagramme? Ou enfin, une carte-index, ça sert à quoi? Sauriez-vous décrire une carte en tenant compte de ces différents éléments?

Les documents cartographiques sont une riche source de connaissances. Depuis des millénaires, on en crée à diverses fins en utilisant des signes et des codes pour transposer sur papier (ou sur écran) une foule d’informations. Pour un(e) archiviste, il est essentiel de savoir interpréter cette « grammaire des cartes » pour en comprendre la nature. Parfois pragmatique, tantôt politique ou même propagandiste, le document cartographique est un type de document qu’on gagne à mieux comprendre.

Cette formation propose donc aux participants de redécouvrir leurs documents cartographiques. Avec des exemples concrets, on abordera leur histoire, leurs caractéristiques et leurs fonctions afin de pouvoir mieux les gérer, les décrire et les interpréter.

Formateur :

François Cartier œuvre depuis plus de 25 ans dans le milieu des archives et de l’histoire. Il a obtenu une maîtrise en histoire qu’il a complétée par une formation en archivistique à l’Université de Montréal. Il a publié de nombreux écrits, dont plusieurs articles dans la revue Archives de l’Association des archivistes du Québec. Depuis 2005, il est aussi chargé de cours en archivistique à l’Université de Montréal et à l’UQÀM. Il s’intéresse de près aux rapprochements interdisciplinaires entre l’archivistique, la muséologie et la bibliothéconomie, de même qu’à l’influence sociétale des archivistes.

Après avoir travaillé pendant plusieurs années comme archiviste dans le milieu des musées, il occupe maintenant le poste d’archiviste au Service des archives et de la gestion documentaire de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).