Chers membres,
Pour célébrer les 50 ans de l’Association, nous avons choisi de laisser la parole à ses membres ! Ainsi, un Livre d’or s’assemble progressivement à partir des témoignages d’une quarantaine de membres représentants différents milieux et différentes générations.
Ces témoignages sont publiés à raison d’environ un par semaine sous forme d’infolettre (pour vous abonner : eepurl.com/cxcfL1) et sur le site des 50 ans : 50ans.archivistes.qc.ca/.
Quelques extraits des textes publiés jusqu’à présent…
« Le regroupement des archivistes a permis d’établir des collaborations, de partager des expériences, d’adapter aux différentes catégories de dépôts d’archives les grands principes de la discipline, de définir des façons de faire et de former une relève. Concrètement, ces orientations ont facilité la révision des processus de sauvegarde, de classification et d’accessibilité, les valeurs et les droits inhérents à la mission et au mandat des archives. L’aboutissement a été marqué par la promotion et la reconnaissance de l’expertise (l’excellence) professionnelle à des fins administratives, culturelles, sociales et identitaires. Place aujourd’hui à de nouveaux défis ! » Jacques Mathieu
« Un jour, j’ai mentionné à un certain André Gareau que j’aimerais m’impliquer avec l’AAQ pour faire changer les choses et ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd ! Un an plus tard, j’ai reçu un appel de la présidente 2014-15, Natalie Richard, m’invitant à déposer ma candidature pour la vice-présidence de l’AAQ. J’ai littéralement crié de joie et je suis certaine que les oreilles de Natalie bourdonnent encore. Hé oui, je suis très enthousiaste ! Je suis honorée d’avoir été considérée par l’AAQ pour représenter l’association. Pour moi, cela veut dire que mon style de gestion et mes accomplissements professionnels sont reconnus par la communauté archivistique. » Marie-Pierre Aubé
« J’admets que l’aventure du banquet-bénéfice du 30° anniversaire de l’AAQ en 1997 — souvenez-vous-en ! – mériterait bien quelques lignes… Mais si je devais faire le compte, je n’ai, somme toute, qu’essayé de rendre à mon association au moins autant que ce que j’en ai reçu. J’ose l’avouer : ma carrière eût certainement été différente si, dès le début, je n’avais eu l’immense opportunité de pouvoir rencontrer les archivistes de la région de Montréal. » Germain Bonneau
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