Immigration

Pour avoir le droit de travailler, il est important d’avoir le statut de résident permanent ou un permis de travail délivré par Citoyenneté et Immigration Canada. Si vous êtes un étudiant étranger au Canada, vous pouvez travailler si votre permis d’études est assorti d’une condition qui stipule que vous êtes autorisé à travailler sur le campus ou hors campus : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/etudier-canada/travail.html

 

Pour les professionnels/les ayant faits des études dans leurs pays d’origines, il est fortement recommandé de demander l’équivalence officiellement attestées par le gouvernement du Québec : l’Évaluation comparative des études effectuées hors du Québec. : https://www.quebec.ca/immigration/travailler-quebec/faire-reconnaitre-competences-acquises-etranger

 

Les trois principaux conseils qui peuvent être donnés à la personne immigrante afin de faciliter son intégration professionnelle au Québec sont : 

  • S’adapter au marché du travail au Québec (processus d’embauche, lettre de présentation, CV, etc.) en s’informant sur le web ou en participant à des ateliers d’organismes communautaires d’aide aux immigrants (p. ex. la CITIM à Montréal : https://citim.org/)
  • Se créer un réseau de contacts professionnels pour mieux comprendre le milieu des archives au Québec, poser des questions et se faire connaitre
  • Profiter des différentes ressources proposées par l’AAQ (« devenir archiviste », « mentorat », « publications », « calendrier » etc.) pour mettre à niveau ses connaissances professionnelles

 

Écoutez ou réécoutez également l'enregistrement de la soirée interrégionale virtuelle Retours d’expériences: «archivistes étrangers» du 23 mars 2023 ci-dessous où Gaël JeanninDaniel J. S. Bossikponnon et Yudisleidy Navarro Sotolongo présentent leurs enjeux liés à leur entrée dans le monde professionnel des archives au Québec. Il s’agit de trois archivistes diplômés dans leur pays d’origine, qui avaient plusieurs années d’expertise avant leur arrivée au Canada. Si le parcours de chaque archiviste « étranger » est unique – qu’il vienne d’Europe, d’Afrique ou d’Amérique centrale pour les exemples de ce soir – ils ont développé chacun et chacun des stratégies pour accomplir leur objectif commun : trouver un emploi dans notre nouveau pays d’adoption.